Vivre à Sainte-Luce-sur-Loire
Tout ce qu’il faut savoir pour vivre à Sainte-luce-sur-loire!
Sainte-Luce-sur-Loire : la ville où la Loire devient voisine
Entre deux boucles de la Loire, à huit minutes de Nantes en Chronobus, Sainte-Luce-sur-Loire s’est inventée une vie de quartier sans cesse ensoleillée. Ici, on ne parle plus de « banlieue » mais de « ville-balcon » : du haut de la digue, la vue donne sur l’île Clémentine et ses péniches (les dragueuses de sable de la loire ont fini leur travail en fin 2025 et c’est désormais le retour à la tranquillité). De son coté le centre-ville, lui, fourmille de commerces de proximité, petits restaurants, bars, coiffeurs, esthéticiens et autre atelier de réparation de vélos, par exemple.
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Un marché immobilier qui respire
Contrairement à ce qu’on peut lire et qui est totalement faux, le parc immobilier se compose à 50 % de maisons nantaises à ardoises, mais aussi à 15% de maisons vendéeennes à tuile (particulièrement autour des rues Louis Gaudin, Noës, avenue des Floralies ou des Lilas à Sainte-Luce-Sur-Loire) et à 35 % d’appartements récents, la plupart livrés avec balcon. Les programmes neufs restent modérés, la ville ayant choisi de densifier doucement pour préserver ses îlots de verdure.
Transports pour vivre à Sainte-Luce-Sur-Loire
Deux lignes de bus (C7 et 26) et un Chronobus (C20) relient la place du Marché à la gare de Nantes en moins d’un quart d’heure, gratuits le week-end. Pour les vélotaffeurs, la piste cyclable longeant la Loire qui est magnifique rejoint Carquefou puis Thouaré au nord et le centre-ville nantais au sud, sans croiser une seule voiture sur 12 km. A partir du pont de Bellevue, il est même possible de passer Sud Loire.
Pour les automobilistes, l’accès A11 en 4 min (pour aller sur Nantes Nord, Carquefou, La Chapelle-Sur-Erdre ou Paris, ou dans l’autre sens, la Vendée et Bordeaux), périphérique en 2 minutes : direction mer ou vignoble, vous êtes déjà partis.
Commerces & loisirs à deux pas
Boulangerie artisanale ouverte à 7 h, primeur bio, cave à vins, fleuriste et librairie jeunesse : la rue principale condense en 300 m tout ce qu’il faut pour ne jamais prendre la voiture le dimanche ou pour gérer le quotidien en semaine.
Cette rue commence du Super U et se termine sur un mini centre commercial. Le samedi matin, le marché s’étale sur la place : huîtres de Guérande, légumes de Saint-Julien-de-Concelles, fromages de chèvre frais. La rue principale étends ses commerce sur 200 m de large de la mairie à l’école primaire Saint-Vincent.
Pour les plus sportifs, le complexe du Patisseau propose 3 cours de tennis et 2 de badbigton, salle de cross-training et mur d’escalade ; il y a bien sûr le Stade de Sainte-Luce-sur-Loire, magnifique stade pour faire de l’athlétisme. Côté culture, la médiathèque programme des rencontres Auteur & Lecteur chaque premier mardi du mois. Allée des Arts, on trouve aussi l’Association Musicale Lucéenne qui fait école musicale et est une pierre angulaire de la joie de vivre lucéenne.
Écoles et familles : de la « maternelle au collège »
Sept écoles maternelles/primaires, un collège public et deux privés, trois crèches municipales et une ludothèque qui prête jeux : Sainte-Luce tient la dragée haute aux jeunes parents. Les associations locales (plus de 90 au dernier recensement) organisent des ateliers cirque, des stages « vélo sans petites roues » et des festivals de musique en juin (voir chapitre ci-dessus). On trouve aussi Le Théâtre Ligeria qui propose cours et pièces de théâtre! Vivre à Sainte-Luce-Sur-Loire, c’est aussi une vie riche culturelle!
Balades & nature
Au départ de l’église Saint-Matthieu, une boucle de 5 km emprunte le GR3, longe la Loire, traverse le parcours-santé et rejoint l’île Clémentine, terrain de pique-nique autorisé jusqu’au coucher du soleil. En été, les guinguettes installent leurs guingois sur la digue : apéro, tartare de daurade et matchs de pétanque en fond de scène.
Vivre à Sainte-Luce-sur-Loire : Emploi
Le bassin d’emploi de Sainte-Luce-Sur-Loire est assez conséquent et accessible très rapidement. L’emploi est tiré, selon l’Insee, à 66% par la distribution/transport. On trouve des marques comme Métro, Ziegler, Les Tailleurs de Pierres Nantais… Les deux bassins d’emplois sont le LANDREAU et la CHOHONNIERE, la PETITE MADELEINE.
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